ARMAN

 

Hommage à la gorgone, 1964

Empreintes de peignes. Peinture sur toile 116 x 89 cm.
Collection particulière.

Le peigne a une histoire picturale depuis les cubistes (qui s’en servaient pour imiter le bois) jusqu’au ready-made de Duchamp, ce qui n’a rien d’étonnant si l’on considère que les verbes peindre et peigner se conjuguent parfois de façon identique : en peignant.
Arman a bien sûr tout cela en tête lorsqu’il trempe ses peignes dans la peinture pour en  garder une empreinte sur toile.


 

Cachet, 1958
Encres d’imprimerie et cachets sur papiers marouflés sur toile 142 x 147,8 cm. MNAM